Playlist de la semaine 2025 #25

On est de retour cette semaine pour une nouvelle playlist pleine de belles distos, de philo et d’amour ! C’est parti !

Quelle joie de retrouver SPRINTS sur la playlist de la semaine ! Leur nouveau single Descartes fait le plein de philo, de riffs rageurs et d’énergie sauvage. Pas de doute, c’est un banger et un coup de cœur pour moi ! Et c’est pas fini, loin de là ! Cutthroat de shame envoi du bois avec son refrain inspiré pop, ses riffs vibrants et son esprit libre. À sa suite, on retrouve l’excellent Skinbag de VERA. Son cœur punk et sa progression haletante me font tourner la tête dès la première écoute. C’est donc un immanquable ! CARSICK nous garde dans le pogo avec une belle franchise dans les riffs et la mélodie de Backseat. Une pointe de pop rend le tout particulièrement plaisant et entêtant d’ailleurs.

Dans un style plus sombre, This Will Destroy Your Ears tente de tenir ses promesses à travers Gorgeous Eve Holds A Banger Hammer. Et avec le groupe nous assène de riffs puissants et d’une histoire fascinante ! Bottle Next enchaine avec Scorn, pour notre dose de métal hebdomadaire, et une ambiance parfaitement intrigante. Ensuite, Noroy s’associe à Paul Ivory pour un rock plutôt rond et inspiré blues. Ça donne Hell et c’est hyper addictif ! Dans un style plus classique, poétique et brut, on retrouve Wunderhorse avec leur single The Rope, fait de rage de vaincre et espoir.

- - - - Besoin de plus de playlists ? On a ce qu’il faut.

Avec une disto similaire, Peter Landi, lui s’évade dans la nature à travers cet hymne qu’est Dandelion, tout en touchant au psychédélique. Ça accroche tout de suite grâce son petit air de nostalgie. De la nostalgie, NASTYJOE en a pas mal aussi dans Strange Place qui s’illumine comme les photos au grain visible de nos étés passés. Pour Roseland, c’est dans son clavier et dans ses textes qu’elle place autant de mélancolie que d’amour maternel inconditionnel. Et ça donne la très belle Devotion song. On termine la playlist cette semaine avec Marlene Larsen qui reprend le contrôle de son anxiété, de ses envies, de ses vraies pensées à travers Actually. Un titre à dévorer sans modération.