Bleubleu 2019: À la plage avec Helena Deland, Philémon Cimon et Choses sauvages

Publié le 09 juillet 2019 par Feuavolonte @Feuavolonte

Le Festival Bleubleu, c’est la rencontre fantasmagorique entre l’une des plus belles parties de la Gaspésie (Carleton-sur-Mer) et toute la félicie et l’allégresse qu’on peut ressentir lors d’un festival musical. J’en suis à peine revenue. Je suis certaine que plusieurs autres festivaliers ont remis leur carrière en question et se sont demandé si c’était viable au fond de faire pousser des pois sur une terre en Gaspésie. Entre les pintes, les spectacles, le soleil, les rencontres, les guédilles aux crevettes et la poutine, j’ai quand même pris le temps de kidnapper respectivement Helena Deland, Philémon Cimon et Choses sauvages, et de les emmener à la plage pour leur poser des questions en apparence peu pertinentes.

Helena Deland et l’amour des road trips

  • Helena qui m’offre une photo pas du tout stagée.
  • Si tu es sur une île déserte où seuls trois objets te sont permis, lesquels prends-tu? Elle a hésité longtemps avant de répondre, après mûre réflexion: «une couverte, un lecteur mp3 et un canif».
  • Maillot une pièce ou deux pièces? «Ça fait une couple d’années que je suis dans le une pièce. Ça permet plus de coquetterie [puisque c’est] échancré dans le bas du dos.»
  • Lequel des éléments du feu, de la terre, de l’eau et de l’air te représente le mieux? «Le feu, c’est ce qui me pousse.»
  • Qu’est-ce que t’évoque le nom «Bleubleu»? «L’eau et le ciel», celle-ci de dire en regardant la mer.
  • C’est une pas pire ride se rendre à Carleton-sur-Mer. Quelle est ta toune de road trip pour ce genre de trajet? «Ça a pris 6 heures et on n’avait pas de prise usb. La meilleure toune qu’on a entendue c’était Jenny from the Block, de Jennifer Lopez», a-t-elle expliqué, racontant que les six heures de char ont aussi occasionné quelques petits différends de route et menaces de démission. 

La serviette de chat de Philémon Cimon

  • Philémon est un réel baigneur et a les bons outils, notamment cette délicieuse serviette.
  • Si tu es sur une île déserte où seuls trois objets te sont permis, lesquels prends-tu? «Une brosse à dents, une guitare ce serait pratique et un petit cahier. Non! Une bonne enregistreuse!»
  • Maillot style short ou speedo? «Sur l’île déserte, je me baignerais nu.»
  • Lequel des éléments du feu, de la terre, de l’eau et de l’air te représente le mieux? «L’eau. Je trouve ça extraordinaire et j’ai envie que ça soit l’eau.»
  • Qu’est-ce que t’évoque le nom «Bleubleu»? «C’est beau hein? C’est tout doux.»
  • C’est une pas pire ride se rendre à Carleton-sur-Mer. Quelle est ta toune de road trip pour ce genre de trajet? «À peu près 75 % du temps, j’écoute du Félix Leclerc.»

L’amour de la mayonnaise de Choses sauvages

  • À défaut d’avoir le temps de se rendre à la mer, j’ai amené la plage à Choses Sauvages. Un cliché réussi? Absolument.
  • Si vous êtes sur une île déserte où seuls trois objets sont permis, lesquels prenez-vous? Un cristal de guérison, une slackline et notre bonne humeur. Pas besoin de musique ou d’instruments sur une île puisqu’il n’y a pas de cachets.»
  • Maillot style short ou speedo? «Le short, mais on respecte les autres choix. Et de toute façon Tommy a un trop gros pénis pour les Speedo. On salue sa mère.» 
  • Qu’est-ce que vous évoque le nom «Bleubleu»? «Les baleines, le viagra, quelqu’un qu’on entend crier «bleubleubleu» parce qu’il se noie, Bleu nuit et la bière.»
  • C’est une pas pire ride se rendre à Carleton-sur-Mer. Quelle est votre toune de road trip pour ce genre de trajet? «La meilleure ça a été Beautiful Girls de Sean Kingston.»

Les gars de Choses sauvages ont trouvé difficile de trouver le consensus pour répondre à mon quizz, mais s’entendent tous en ce qui concerne la mayonnaise. Ils en raffolent.