That's what I say...

That's what I say...

Le riff est venu à Keith Richards en plein rêve, une nuit de mai 1965, alors qu'il se trouvait dans un motel de Clearwater, en Floride, pendant la troisième tournée américaines des Stones. Il s'est réveillé, a attrapé sa guitare et un enregistreur. Il a joué les notes une fois puis est retourné se coucher.

Inspiré par ce riff et le titre, également une idée de Richards, Mick Jagger a trouvé les mots justes pour exprimer son dégoût de l'Amérique et son obsession pour la publicité en dix minutes, au bord de la piscine du motel, le lendemain du rêve de Richards. Ils ont essayé d'enregistrer la chanson une première fois le 10 mai aux Studios Chess à Chicago. Deux jours plus tard, ils la terminaient aux Studios RCA d'Hollywood, où ils ajoutent cette fameuse distorsion grâce à une petite nouveauté du moment : la Gibson Fuzz Box.

A sa sortie,(I Can't Get No) Satisfactiondevient rapidement un hymne pour la jeunesse britannique révoltée, tout comme pour la jeunesse américaine et européenne.

Mélanie Pain - The Rolling Stones - (I can't get no) Satisfaction - Cover