Rock en Seine – Episode 2

Emilie Simon & l'ONDIF, Rock en Seine, Paris, 23 août 2014. (photo: Léa Fochesato)

Emilie Simon & l’ONDIF, Rock en Seine, Paris, 23 août 2014. (photo: Léa Fochesato)

Date : 23 août 2014

Lieu : Domaine de Saint-Cloud, Paris, France

Que pense les festivaliers de Rock  En Seine ? Beaucoup sont là pour la première fois alors que d’autres sont de grands habitués. A la question « En deux mots, pour vos c’est quoi Rock En Seine ? » voici ce qu’on nous répond :

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Mais Rock En Seine c’est aussi des expos et des artistes invités. Alors pendant que les concerts commencent, nous somme allez au Planétarium pour voir Dark Lens, une exposition de photos de Cédric Delsaux, qui mêle paysages urbains et personnage de Star Wars « au quotidien ». De l’autre côté, pour les amateurs de Street Art, c’est l’artiste JACE, maître des gouzous qui pose sa patte sur le mur. Tout ça entre le Cinéspace et le Bar de L’Espace, pendant la claque Thee Oh Sees et The Ghost Of A Saber Tooth Tiger, groupe du fils Lennon.

JACE, Planétarium, Rock en Seine, 23 août 2014. (photo: Léa Fochesato)

JACE, Planétarium, Rock en Seine, 23 août 2014. (photo: Léa Fochesato)

Puis on glisse vers la scène de la Cascade pour voir Emilie Simon et l’Orchestre National D’Île de France, abrégé ONDIF sur le programme. On regrette peut être ne pas entendre plus que ça l’orchestre mais le jeu de scène de la jolie rousse n’est pas vilain. Ce n’était pas le pire mais ce n’était pas le meilleur concert du week-end.

Cette journée, plus électro que rock par rapport à la veille et au lendemain, se poursuit avec Portishead, très décevant, sur la grande scène. Pas de communication, les yeux toujours fermés et collée au micro, on aurait préféré autre chose. Plutôt mou, le concert en a déçu beaucoup. Bonne raison donc d’aller voir Flume qui lui, au contraire, a su convaincre très vite sur la scène de la Cascade.

Portishead, Rock en Seine, 23 août 2014. (photos: Léa Fochesato)

Portishead, Rock en Seine, 23 août 2014. (photos: Léa Fochesato)

Ensuite arrive un choix relativement draconien : The Prodigy, The Horrors ou St. Vincent. Après une petite réflexion, ça sera Prodigy. On aurait préféré que les trois groupes ne se chevauchent pas autant. Mais c’est la loi du festival. Prodigy a enflammé la plaine assez efficacement, et que les plus fans sont resté conquit à danser devant la scène. La légende était donc vraie : Prodigy en live envoie du lourd, même pour les moins fans. Pour les absents: Culturebox! Mais cette journée ne valait ni la veille, ni le lendemain !

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