De la douceur, de la grandeur, de la force et de l’indépendance. Voilà ce que chacun peut souhaiter de transmettre. Nos artistes du jours le font en musique avec trois pépites. Flashes.
LADY BLUES – MEYLO
Il existe un million de voix et chacune porte en elle un effet, une atmosphère particulière. La voix chaude et douce de Meylo est l’une de celle qui porte bienveillance, sensualité et apaisement. Forte et indépendante, l’artiste autodidacte est aussi délicate tout le long de son premier EP Lady Blues. Sans jamais se laisser marcher dessus par l’instrumentation, parfois classique, parfois forte d’électro vibrante, elle ne hausse pas le ton mais dit tout. Ici, le dancefloor soul a quelque chose de collectif, de social, de grandeur mais aussi d’émotionnel, de doux et d’intimiste. On adore.
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ARIYO (A SIGHT TO REJOICE) – KUKU
Écrit et composé pour son fils, le nouvel album de Kuku en porte aussi le nom et le sens. Ariyo (A Sight To Rejoice) est empli d’émotions, de la peur et l’inquiétude à l’espoir et l’insouciance. Kuku ajoute un peu de politique, on entend Commerce or Conscience comme un hymne et hommage aux artistes qui ont entouré Kuku et qui, on l’espère, entourerons son fils. Pas de pression, juste des messages doux pour Ariyo, une pointe de nostalgie de le voir grandir vite, et une immense dose d’amour inconditionnel qui transparaît de bout en bout. Magique.
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WANDER – SEAN CHRISTOPHER
Pour ce second opus, Wander, Sean Christopher confirme son univers aérien et réflectif. Marcher sans réel but ouvre l’esprit et fait du bien au corps. Écouter cet album nous a fait le même effet avec de long moment de douceur, quelques accélérations qui donnent envie de sourire et courir, coupant à travers champ, et puis il y a toute la dimension infinie, ouverte sur le ciel et l’esprit qui se rejoignent dans chaque note. L’album, à venir le 29 mai, est tendre et se complète à chaque nouvelle écoute d’une dose de réflexion supplémentaire.
En écoute :
LadyBlues – Meylo
Ariyo – Kuku
Indigo Blue – Sean Christopher